vendredi 30 septembre 2016

Pour Piet Franzen Sidac



le mythe ouvre la porte
aux levés souriants
omoplates vides
souvenirs d’architecture
une ville aux débouchés
trimballant
aux invraisemblables idées
face au solide

Là on jonche
des jambes gisantes et grises
autour d’un gout de cathédrale
on ferme les yeux
en remuant la terre


Cosme de Granville, 2001

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