mardi 14 novembre 2017
lundi 13 novembre 2017
Reçu de Ecole Publique Pléguien, Maëlys Le Solleu
Au
gré des marées,
le
grand cormoran m’apprend
à
gober la lune.
Bikko
Magnifique Maëlys, ce superbe haïku et ton illustration !
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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vendredi 10 novembre 2017
jeudi 9 novembre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Riwan Lanchez
A cet endroit même
au pied du cerisier en fleurs
dormir toute une nuit
Yotsuya Ryu
Merci Riwan, le haïku est très beau, ainsi que ta mise en page au crayon de couleurs ...
Un grand merci également à Lydia Gromy, le professeur
de cette classe de CE2 CM1
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mercredi 8 novembre 2017
mardi 7 novembre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Rozenn Glo
Cliquer sur l'image pour agrandir
Merci Rozenn,pour ta mise en page et tes poèmes, je suis gâté !
Un grand merci également à Arnaud Talmon, le professeur de cette classe de CM2
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lundi 6 novembre 2017
Pour Marie Christine de Grave
La
très-chère était nue, et, connaissant mon cœur,
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.
Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d'aise
A mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté,
D'un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l'huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s'était assise.
Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l'Antiope au buste d'un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun, le fard était superbe !
Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre !
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.
Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d'aise
A mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté,
D'un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l'huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s'était assise.
Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l'Antiope au buste d'un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun, le fard était superbe !
Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre !
Charles
Baudelaire
samedi 4 novembre 2017
Reçu de Ecole Publique Pléguien, Mathéo Perrée
Une mésange
dans les brins du tamaris
le ciel à ses pieds
Huguette Dangles
Merci Mathéo, pour ces jolies mésanges ... et pour ce bel haïku
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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vendredi 3 novembre 2017
Reçu de Michèle Zuccarini
cliquer sur l'image pour agrandir
Merci Michèle pour ce MA, avec cette dictée, un des ravissements de la langue française ...
Michèle a deux appels en cours :
Voici un lien sur sa galerie des " facteurs "
jeudi 2 novembre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Paul Le Pennec
Sur une branche morte
Repose un corbeau :
Soir d'automne !
Repose un corbeau :
Soir d'automne !
Basho Matsuo
Merci Paul, pour ce bel haïku et son illustration...
Un grand merci également à Lydia Gromy, le professeur
de cette classe de CE2 CM1
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mercredi 1 novembre 2017
mardi 31 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Noah Berroche
Le vent d'hiver
les rochers déchirent
le bruit de l'eau
Yosa Buson
Merci Noah, j'aime vraiment beaucoup ce haïku ...
Un grand merci également à Arnaud Talmon, le professeur de cette classe de CM2
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lundi 30 octobre 2017
vendredi 27 octobre 2017
jeudi 26 octobre 2017
mercredi 25 octobre 2017
mardi 24 octobre 2017
lundi 23 octobre 2017
vendredi 20 octobre 2017
Pour Jeanne Marie Roch
Dans
son chaudron la sorcière
Avait
mis quatre vipères
Quatre
crapauds pustuleux
Quatre
poils de Barbe-Bleue
Quatre
rats, quatre souris
Quatre
cruches d'eau croupie
Pour
donner un peu de goût
Elle
ajouta quatre clous
Sur
le feu pendant quatre heures
Ca
chauffait dans la vapeur
Elle
tourne sa tambouille
Et
touille et touille et ratatouille
Sur
le feu pendant quatre heures
Ca
chauffait dans la vapeur
Elle
tourne sa tambouille
Et
touille et touille et ratatouille
Quand
on put passer à table
Hélas
c'était immangeable
La
sorcière par malheur
Avait
oublié le beurre
Quand
on put passer à table
Hélas
c'était immangeable
La
sorcière par malheur
Avait
oublié le beurre
Jacques
Charpentreau La soupe de sorcière
jeudi 19 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Noelia Fichou
Crépuscule
l’arbre mort du marais
se couvre d’étourneaux
Gérard Dumon
Merci Noelia pour ta participation avec ce bel haïku ....
Un grand merci également à Lydia Gromy, le professeur
de cette classe de CE2 CM1
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mercredi 18 octobre 2017
mardi 17 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Lyona Berthelot
Sur le cèdre bleu
les oiseaux se reposent
nos regards aussi
Huguette Dangles
Merci Lyona, beaucoup d'oiseaux et de belles couleurs sur ce cèdre bleu ...
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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lundi 16 octobre 2017
Reçu de Poul Poclage
" Poésie vocale " selon l'atelier Poul Poclage....
Thanks for this original mail art !!!
***
***
Aller voir son site ici
dimanche 15 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Louis Georges
Les racines d'un grand arbre d'été
sur une roche
s'étendent dans toutes les directions
Takahama Kyoshi
Merci Louis, pour ce bel haïku et pour ta mise en page
Un grand merci également à Arnaud Talmon, le professeur de cette classe de CM2
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vendredi 13 octobre 2017
Reçu de Thérèse Waryn
Merci Thérèse alias Mizou pour cette citation de Coelho ...
Le blog de thérèse, " Chez Mizou", est accessible dans la blog roll également
Ses appels
*vaches rigolotes *
* mains *
* enseignes en fer forgé *
*ou tout autre à votre choix *
jeudi 12 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Youn Derrien
Premier décembre
le vieux cerisier
ne chante plus
Jonathan Engelinus
Merci Youn pour ce bel envoi hivernal ...
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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mercredi 11 octobre 2017
dimanche 8 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Louis Rannou
Premier décembre
le vieux cerisier
ne chante plus
Jonathan Engelinus
Merci Louis, encore une belle ambiance hivernale ...
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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vendredi 6 octobre 2017
Pour Pascalou
Depuis
le grand pont,
J'ai
pris trois poissons,
Sans
fil, sans bouchon,
Et
sans z-hameçon.
Le
premier était
vert
comme le ciel.
Le
deuxième était
blond
comme le miel.
Et
quant au troisième,
traderiderème
C'était
l'cosmonaute,
qu'on
croyait perdu,
mais
qu'est revenu,
traderidéru,
pour
faire fortune
en
vendant la lune.
Yves
Sandre
jeudi 5 octobre 2017
Pour Raquel Gociol
Aujourd'hui je n'ai rien fait. Mais beaucoup de choses se sont faites en moi. Des oiseaux qui n'existent pas ont trouvé leur nid. Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leur corps. Des paroles qui existent ont recouvré leur silence. Ne rien faire sauve parfois l'équilibre du monde, en obtenant que quelque chose aussi pèse sur le plateau vide de la balance.
Hoy no he hechonada. Pero muchas cosas se hicieron en mi Pajaros que no existen encontraron su nido. Sombras que tal vez existan hallaron sus cuerpos. Palabras que existen recobraron su silencio No hacer nada salva a veces el equilibrio del mundo, al lograr que también algo pese en el platillo vacio de la balanza.
Roberto Juarroz
mercredi 4 octobre 2017
Pour Fred
Sur l’onde calme et lisse dansent les libellules
Et leur ballet léger, élégant et gracile
Rythme le vent qui glisse sur les bulles…
Fluidité des petites pattes habiles
Fils de lumière lus comme une élégie
A la lune qui luit dans son lointain hâlo
L’air allie les effluves lentes des ancolies
Au lilas blanc qui brille au bord de l’eau
Soudain la brise lève, et le caprice du vent
Qui souffle en risées, balaie ces ballerines
Fragiles, et les fines aiguilles d’argent
Se fondent dans les lueurs purpurines
L’étang se ride, la nuit calme répond en écho…
Et leur ballet léger, élégant et gracile
Rythme le vent qui glisse sur les bulles…
Fluidité des petites pattes habiles
Fils de lumière lus comme une élégie
A la lune qui luit dans son lointain hâlo
L’air allie les effluves lentes des ancolies
Au lilas blanc qui brille au bord de l’eau
Soudain la brise lève, et le caprice du vent
Qui souffle en risées, balaie ces ballerines
Fragiles, et les fines aiguilles d’argent
Se fondent dans les lueurs purpurines
L’étang se ride, la nuit calme répond en écho…
Didier Meral
mardi 3 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Lorenzo Salmon
Deux
pigeons s’aimaient d’amour tendre
Deux
corbeaux s’aimaient d’amour noir
Deux
mésanges s’aimaient d’amour bleu
Deux
pies s’aimaient d’amour bavard
Deux
autruches s’aimaient d’amour loud
Deux
pinsons s’aimaient d’amour gai
Deux
vautours s’aimaient eux aussi
Michel
Besnier
Merci Lorenzo, j'aime beaucoup le poème et ton dessin !
Un grand merci également à Arnaud Talmon, le professeur de cette classe de CM2
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lundi 2 octobre 2017
dimanche 1 octobre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Julien Jolivet
La nuit d'hiver tombe
La cascade change de place
Le vent souffle
Les vagues bougent
Julien Jolivet
Merci Julien, une belle mise en page avec un poème de toi, super !!!
J'aime bien cette ambiance hivernale.
Un grand merci également à Anne-Claire Windels, le professeur de cette classe de CE2 CM1
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mercredi 27 septembre 2017
Reçu de Françoise Chambier
Le
pôle est sans soupirs.
Un ours tourne et retourne
Une boule plus blanche
Que la neige et que lui.
Comment lui faire entendre
Du fond de ce Paris
Que c'est l'ancienne sphère
De plus en plus réduite
D'un soleil de minuit
Quand cet ours est si loin
De cette chambre close
Qu' il est si different
Des bêtes familières
Qui passent à ma porte,
Ours penché sans comprendre
Un ours tourne et retourne
Une boule plus blanche
Que la neige et que lui.
Comment lui faire entendre
Du fond de ce Paris
Que c'est l'ancienne sphère
De plus en plus réduite
D'un soleil de minuit
Quand cet ours est si loin
De cette chambre close
Qu' il est si different
Des bêtes familières
Qui passent à ma porte,
Ours penché sans comprendre
Sur
son petit soleil
Qu'il voudrait peu à peu
Réchauffer de son souffle
Et de sa langue obscure
Comme s'il le prenait pour
Un ourson frileux
Qui fait le mort en boule
Et ferme fort les yeux
Qu'il voudrait peu à peu
Réchauffer de son souffle
Et de sa langue obscure
Comme s'il le prenait pour
Un ourson frileux
Qui fait le mort en boule
Et ferme fort les yeux
Jules
Supervielle
Merci Françoise,
Allez voir son blog : http://lacabornedelourse.blogspot.com
mardi 26 septembre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Nina Rivoalland-Truhaud
A cet endroit même
au pied du cerisier en fleurs
dormir toute une nuit
Yotsuya Ryu
Merci Nina, c'est très beau et j'aime beaucoup ton haïku.
Un grand merci également à Lydia Gromy, le professeur de cette classe de CE2 CM1.
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lundi 25 septembre 2017
Pour Isabelle Paillard
Très fort puni sans autre raison. L'injure n'est jamais assez forte Il sait qu'il aura toujours tort. Un être sans valeur aucune Il traîne ses peines faute de rancune. Depuis l'antiquité si loin On crachait toujours dans son foin. Son caractère s'assombrit Par tous les coups qu'il a reçus. Très stoïquement il porte la charge Bien tristement il vit en marge De tous les autres animaux. Puisqu'on le prend pour un grand sot Il suffit qu'il remue sa tête Pour qu'on l'insulte, oh quelle sale bête. Il vient d'atteindre ce triste seuil D'avoir toujours une larme à l'oeil. Cette douleur si profonde au coeur Il voudrait bien qu'on l'aime un peu. Rien qu'une parole en récompense Pour avoir subi tant de souffrance. Ses yeux demandent une caresse douce Une bonne parole pour sa frimousse. Une petite douceur pour qu'il le voit Pour avoir droit à un peu de joie. Mais rien ne vient pour venir en aide. - Un mot pour dire qu'il n'est pas laid - Cet âne avec une âme si noble Doit mettre bien des sentiments au comble. D'une telle insulte aux êtres vivants J'ai de la honte, si grande si grande Un sentiment d'immense tristesse Pour ce petit âne d'une telle noblesse. |
vendredi 22 septembre 2017
Reçu de Ecole Publique de Pléguien, Lisa Le Chevance
Le vieux séquoia
la tête dans les étoiles
rêve de partir
Merci Lisa pour ce bel haïku et pour ta mise en page ...
Un grand merci également à Arnaud Talmon, le professeur de cette classe de CM2
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jeudi 21 septembre 2017
Pour Ginette Bellan
Ami,
le croirais-tu, ma femme me délaisse,
Depuis
quelques temps, elle a une maîtresse,
Belle, sensible, si fine, elle est délicatesse.
Belle, sensible, si fine, elle est délicatesse.
Que
puis-je contre elle, c'est une Duchesse.
Fuseaux, carreaux, crochets envahissent la pièce,
Fuseaux, carreaux, crochets envahissent la pièce,
Où
chaque jour voit naître une nouvelle prouesse.
La
dentelle avait déjà ses lettres de noblesses,
Avait-elle
encore besoin d'une Duchesse ?
Matin, midi et soir ma femme n'a de cesse
Matin, midi et soir ma femme n'a de cesse
Que
de pouvoir rejoindre cette jolie prêtresse,
A
laquelle elle prodigue amour, attention et caresses,
En
lui donnant la vie, au gré des fils qu'elle tresse.
Heureusement, la nuit venue, je retrouve ma Princesse.
Heureusement, la nuit venue, je retrouve ma Princesse.
Je
la cajole, auprès d'elle je m'empresse,
Afin
que le mirage du jour s'éloigne et disparaisse,
Et
que notre amour commun enfin brille et renaisse.
Alors ami, si un jour ta femme à la dentelle s'intéresse,
Alors ami, si un jour ta femme à la dentelle s'intéresse,
Offre-lui
des vacances, fais-lui toutes les promesses.
Dis-lui
que tu l'aimes, que rien ne presse,
Mais
surtout ne la laisse pas approcher cette traîtresse.
J.M. MARCHAND
J.M. MARCHAND
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